Broderie diamant - Véhicules
Vous appréciez le diamond painting mais aussi les véhicules en tout genre ? Et si vous alliez les deux thématiques ? Découvrez ces beaux ensembles de peinture diamant sur les voitures, les motos et tout ce qui roule.
De manière pratique, comment cela se passe ? Prenez le stylo prévu à cet effet que nous vous avons mis dans la boîte pour placer les petits diamants à multiples facettes sur la plaque prévue à cet effet. Des annotations numérotées donnent l’endroit où placer chaque élément.
C’est un hobby ludique consacré à votre passion pour les véhicules à moteur, qui vous exigera des heures de dévouement.
Résultat : une très belle « peinture » en mosaïque étincelante que vous pouvez monter dans un cadre photo. Vous pouvez donc afficher votre passion auprès de vos amis dans votre pièce préférée de la maison.
Le saviez-vous ?
Les origines modestes de la voiture remontent à 1885. Carl Benz a créé un véhicule avec un moteur à quatre temps et des roues d’une taille impressionnante. Heureusement, ils se sont accélérés et sont devenus un peu plus élégants au sein du département de design depuis lors !
Chaque année, on estime que jusqu’à 60 millions de voitures sortent de la chaîne de production. Si vous regardez les minutes, cela représente environ 115 nouvelles voitures toutes les 60 secondes !
Le prix de l’essence aux États-Unis a augmenté massivement depuis les années 60. Cela s’explique par le fait que les gens consomment jusqu’à 39 millions de gallons de plus chaque année – uniquement grâce aux citoyens qui pèsent généralement jusqu’à deux pierres de plus qu’il y a 60 ans !
La Chine a une mainmise énorme sur le parc automobile britannique. En fait, environ 25 % des véhicules que vous verrez sur les routes britanniques proviennent de ce pays.
Les longs trajets en voiture ont été une nouveauté vers 1888, lorsque Bertha, la femme de Carl Benz, a fait un voyage de Mannheim à Pforzheim en Allemagne. Jusqu’alors, les prototypes de véhicules n’effectuaient que de courts trajets et déplacements.
On pense que les banlieusards de Paris passent environ 82 heures par an à rester assis dans la circulation. Voilà pour le carpe diem !